Découvrez comment planifier efficacement :

• la dynamique de l’action ;
• la structure du récit ;
• la caractérisation des personnages.

Réservez dès maintenant, car le nombre de places est limité : info@lepigeondecoiffe.com

Maximum de 12 participants

Prix : 59,99 $ (taxes incluses)

Rabais de 15 % sur inscription si vous vous inscrivez également à la formation du lendemain, mercredi 25 avril (même heure, même poste !) traitant de la soumission de manuscrits aux éditeurs. Cliquez ici !

Pour qui ?

La formation s’adresse à :

• tout romancier, débutant ou expérimenté, qui souhaite recourir à une méthode de planification éprouvée et efficace pour l’écriture de son (ses) roman(s) ;
• tout auteur qui travaille actuellement sur un manuscrit de roman, qui vient d’en achever l’écriture ou encore qui projette d’en écrire un ;
• tout auteur de textes narratifs, quels qu’ils soient (récits, nouvelles, contes, etc.).

Quoi ?

Animée par Nadia Gosselin, alias Le pigeon décoiffé, la formation sur la planification du roman se présente sous forme d’un exposé magistral (avec possibilité d’intervention des participants).

Comment ?

La formation présente aux auteurs des outils théoriques éprouvés qui leur permettront de planifier avec efficacité :

• La dynamique de l’action :
  • précision des fondements de l’histoire ;
  • organisation de l’action principale ;
  • détermination du rôle de chacun des personnages.

• La chronologie et la structure du récit :
  • planification du déroulement de l’histoire ;
  • clarification du fil conducteur ;
  • organisation (ou réorganisation, le cas échéant) chronologique ou non chronologique des événements.

• La caractérisation des personnages :
  • procédure de planification et de consignation — pour consultation rapide et pratique ainsi que modifications ultérieures — des caractéristiques attribuables aux divers personnages du récit.

Le pigeon décoiffé (Nadia Gosselin, conseillère littéraire)

D’abord animatrice radio, puis journaliste culturelle pour la presse écrite, Nadia Gosselin termine des études universitaires en littératures française et québécoise puis décroche quelques années plus tard un diplôme de 2^e cycle en enseignement collégial.

Le manuscrit de son premier roman, sélectionné en 2004 dans le cadre du programme de parrainage de l’UNEQ, est édité en 2008 sous le titre de La gueule du Loup. Son second roman, L’amour n’est rien, paraît celui-là en janvier 2012. Son troisième roman est en voie d’être publié et elle s’affaire en ce moment à la rédaction de son quatrième.

Après avoir enseigné pendant quelques années, elle fonde en 2012 Le pigeon décoiffé, une petite entreprise pionnière dans le domaine du conseil littéraire au Québec. Sa notoriété professionnelle de conseillère littéraire ne cesse de s’accroître tant chez les auteurs que chez les éditeurs et autres professionnels du milieu qui lui reconnaissent des compétences fort appréciables.

Depuis sa fondation, Le pigeon décoiffé offre aux auteurs, qu’ils soient débutants ou expérimentés, différents services littéraires leur permettant de planifier, élaborer, achever et peaufiner leur manuscrit en vue d’une édition professionnelle. Nadia Gosselin agit également à titre de lectrice de manuscrits pour quelques éditeurs québécois et européens.

Entre 2014 et 2016, Nadia Gosselin collabore par des chroniques littéraires au webzine LE # VivreLireÉcrire.

En 2015, elle est invitée pour une première fois en tant que panéliste au Congrès Boréal (congrès québécois de littérature de science-fiction, fantastique, fantasy, imaginaire et horreur) pour participer à deux tables rondes sur « Le statut d’auteur » et l’« ABC de l’écrivain ».

En 2016, elle est invitée à se joindre au Collectif ILWIT et collaborateurs afin de participer au projet « La littérature source d’échanges entre le Québec et de Salvador ». À l’instar des autres membres du collectif, Nadia Gosselin reçoit la prestigieuse distinction de visiteurs Honorables. Cette distinction est réservée aux dignitaires politiques d’autres capitales dans le monde. C’est la première fois dans l’histoire de la capitale salvadorienne qu’une telle reconnaissance est décernée à des artistes et intellectuels qui font la promotion de la culture. Elle reçoit également un diplôme de reconnaissance offert par le Ministère des Affaires étrangères du Salvador lui octroyant le titre de digne représentante du rapprochement entre les peuples à travers la littérature.