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Aujourd'hui

Patrice Lessard présente Fenêtre sur cour (Rear Window)

Cinémathèque québécoise 335, boul. De Maisonneuve Est, Montréal, Québec, Canada

On voit souvent le romancier au cinéma lorsqu’une de ses œuvres est portée à l’écran. Le roman est en effet l’une des grandes inspirations du cinéma, les adaptations ne se comptent plus. Mais qu’en est-il de la relation inverse ? Le cinéma inspire-t-il les romanciers ? Le langage du film peut-il se frayer un chemin jusqu’à l’écriture romanesque ?

11$

Lancement du livre La Cueva, de Suzanne Aubry

Maison des écrivains 3492, avenue Laval, Montréal, Québec, Canada

Suzanne Aubry lancera son 11e roman, La Cueva, le 12 mars 2019 à la Maison des écrivains. Le roman sera en librairie à compter du 13 mars.

La ligue d’improvisation littéraire — Prix des Horizons imaginaires 2019

Marianopolis College 4873, avenue Westmount, Westmount, Québec, Canada

Le 19 mars 2019, les cinq écrivaines et écrivains finalistes du Prix des Horizons imaginaires, un concours littéraire organisé par le Collège Marianopolis, inspireront trois comédiens-improvisateurs et un musicien en direct sur la scène de l'auditorium du Collège.

De Buenos Aires à Montréal pour réinterpréter Leonard Cohen et García Lorca

Maison des écrivains 3492, avenue Laval, Montréal, Québec, Canada

Depuis le 1er février 2019, le jeune poète argentin Agustín Mazzini est en résidence d’écriture à Montréal grâce à un partenariat entre le Conseil des arts et des lettres du Québec et le ministère de la Culture de l’Argentine, avec la collaboration de l’UNEQ.

Autour du manuscrit | Par Le pigeon décoiffé

Maison des écrivains 3492, avenue Laval, Montréal, Québec, Canada

Découvrez comment planifier efficacement :

  • La dynamique de l’action ;
  • La structure du récit ;
  • La caractérisation des personnages.
115$ à 125$

Lancement de Lettres en forêt urbaine de Bertrand Laverdure

Maison des écrivains 3492, avenue Laval, Montréal, Québec, Canada

L’arbre est politique. Bertrand Laverdure sait parler aux arbres. Sans eux, les gens perdraient leur chemin et leur cœur. Une musique infinie, un vertige, un piano, ou une danse projette sa lumière sur la ville. Que serait Montréal sans ce peuple vertical qui enseigne la douceur, l’espoir et l’humilité ?