Les portes tournantes, ce n’est pas seulement le titre d’un roman (qui a également fait l’objet d’un film), mais la réalité au ministère de la Culture et des Communications (MCC) du Québec. En effet, pas moins de quatre chefs de cabinet se sont succédé depuis l’élection du gouvernement de la Coalition Avenir Québec (CAQ) le 1er octobre 2018.
Actualités
Les lectrices et lecteurs des clubs des Rendez-vous du premier roman ont lu, débattu et voté pour leurs favoris ! Pour cette 7e saison, une sélection d’œuvres francophones (huit québécoises et franco-canadiennes et huit hors-Canada) a été soumise aux clubs de lecture des Rendez-vous du premier roman. Après six mois de rencontres, souvent virtuelles, et de débats, ils ont élu leurs lauréats : l’auteur Paul Kawczak pour Ténèbre (La Peuplade) pour la sélection québécoise et franco-candienne, et l’autrice Caroline Dorka-Fenech pour Rosa Dolorosa (de la Martinière) pour la sélection hors-Canada.
Les lectrices et lecteurs des clubs des Rendez-vous du premier roman ont lu, débattu et voté pour leurs favoris. Pour cette 7e saison, une sélection d’œuvres francophones (huit québécoises et franco-canadiennes, et huit hors-Canada) a été soumise aux clubs de lecture des Rendez-vous du premier roman. Après six mois de rencontres, souvent virtuelles, et de débats, ils ont élu leurs lauréats : l’auteur Paul Kawczak pour Ténèbre (La Peuplade) pour la sélection québécoise et franco-candienne, et l’autrice Caroline Dorka-Fenech pour Rosa Dolorosa (de la Martinière) pour la sélection hors-Canada.
L’UNEQ participe actuellement à des consultations sur la révision de la loi canadienne sur le droit d’auteur, consultations menées par le ministère de l’Innovation, des Sciences et de l’Industrie ainsi que par le ministère du Patrimoine canadien.
Plus de mille écrivaines et écrivains ont signé la lettre ouverte de l’UNEQ dans le cadre de la campagne #écrivainsartistes. Parmi les signataires, des écrivain·e·s célèbres, que ce soit dans le domaine du roman, du conte, de la poésie, de livres pour la jeunesse, de la bande dessinée, de l’essai, du théâtre ; des autrices et auteurs qui en sont à leurs premières armes ; d’autres qui ont publié plusieurs livres ; des spécialistes qui ont écrit des guides pratiques ou des manuels scolaires. Certain·e·s écrivain·e·s signataires enseignent la littérature, effectuent de la recherche, travaillent dans la révision, la traduction, la rédaction professionnelle, l’illustration, dirigent des publications, sont libraires, bibliothécaires, etc.Bref, plus de mille écrivaines et écrivains de toutes origines, de tous âges, de différentes classes sociales, pratiquant tous les genres d’écriture. À cette longue liste s’ajoute une liste d’allié·e·s de deux cents signataires, parmi lesquels figurent les principaux syndicats d’artistes au Québec, toutes disciplines confondues. En plusieurs décennies d’engagement à la défense des métiers de l’écriture, je n’ai jamais été témoin d’une telle vague de mobilisation.