L’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) révèle les résultats d’une enquête menée auprès des autrices et auteurs québécois début octobre. Ces chiffres démontrent sans équivoque le déséquilibre du rapport de force entre les partenaires du milieu, déséquilibre qui mène bien souvent à des comportements inacceptables et à une omerta intolérable.
Actualités
Lectures Plurielles, l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) et la Fondation Lire pour réussir sont heureux de dévoiler les huit titres de la sélection hors-Canada des Rendez-vous du premier roman. Ces huit romans publiés en France ont été choisis avec soin par l’association Lectures Plurielles (organisatrice du Festival du premier roman de Chambéry) au sein de sa sélection générale 2020-2021, composée d’environ 70 titres.
L’année 2020 sera marquée à tout jamais par l’irruption d’une terrible pandémie qui, en quelque six mois, a profondément bouleversé nos existences, fragilisé encore davantage le milieu culturel et la situation socio-économique des écrivaines et des écrivains, déjà précaire.
La presse a dévoilé l’acquittement de l’écrivain Yvan Godbout, accusé avec son éditeur de production de pornographie juvénile dans son roman Hansel et Gretel. Ce jugement tant attendu, accueilli avec soulagement par l’UNEQ et les écrivaines et les écrivains qu’elle représente, est un moment important pour le milieu littéraire et pour toute notre société.
En cette période de crise sanitaire, économique et culturelle, l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) souhaite vivement que certaines promesses du gouvernement fédéral énoncées le 23 septembre dans le discours du Trône se concrétisent.
En septembre 2020, l’UNEQ a créé un nouveau périodique semestriel : Format papier, conçu par et pour ses membres.
Au Québec, un travailleur ou une travailleuse de 61 ans et plus a droit à un crédit, pouvant atteindre 1 650 $ à 65 ans, dès que son revenu net de travail dépasse le seuil de 5 000 $.
Pour une troisième année consécutive, l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ), la Fondation Lire pour réussir et leurs partenaires convient les librairies, les bibliothèques et les lieux culturels ou communautaires à célébrer la lecture le temps d’une nuit, au cœur de l’hiver.
Sylvie Couture, directrice administration et finances et Denise Pelletier, responsable des programmes d’animation prennent une retraite bien méritée après avoir travaillé à l’UNEQ pendant respectivement 34 et 15 années.
Les effets de la pandémie de la COVID-19 sur les artistes sont dévastateurs : professionnels privés de travail et de revenus, lieux de diffusion fermés ou déconfinés au prix de nombreuses restrictions, avenir incertain… Sans la Prestation canadienne d’urgence (PCU), nombre d’artistes et de pigistes n’auraient pas réussi à traverser cette crise. Et la PCU, justement, a relancé le débat sur le revenu minimum garanti.
L’UNEQ souhaite vous consulter pour comprendre l’évolution de votre littératie numérique depuis la crise de la COVID-19, identifier les nouveaux enjeux qui vous concernent et planifier des formations sur les nouveaux outils numériques.
On oublie parfois que la Prestation canadienne d’urgence (PCU) est imposable, même si elle est versée sans retenues à la source. L’impôt à remettre peut varier de 10 % à 38 %.
Au cours des derniers mois, le comité de sélection composé de huit grands lecteurs et lectrices et présidé par l’écrivaine, animatrice et journaliste Claudia Larochelle a lu toute la production de premiers romans québécois et francophones publiés au Canada.
L’UNEQ est à la recherche d’un adjoint ou d’une adjointe administrative chargée de l’information aux écrivaines et écrivains, pour compléter son équipe.
L’UNEQ donne son appui à la lettre rédigée par un groupe constitué de plusieurs centaines de femmes et minorités de genre déterminées à faire cesser une situation qui ne peut plus durer dans le milieu littéraire.
L’UNEQ tient à apporter son soutien à tout.e écrivain.e qui estime avoir été victime de violence ou de harcèlement, à caractère sexuel ou non. Il est urgent de mettre un terme aux pratiques et aux agissements répréhensibles qui minent notre milieu et notre société, imposant à celles et ceux qui en sont victimes des souffrances intolérables. Il est de notre devoir à tous et toutes de permettre à chacun.e d’évoluer dans des relations professionnelles saines.
Pendant la saison estivale, l’UNEQ modifie son horaire de travail. Nos bureaux sont fermés tous les vendredis ainsi que 2 au 24 juillet 2020.
L’écrivaine Virginie Blanchette-Doucet est la lauréate de la bourse d’écriture Jean-Pierre-Guay – Caisse Desjardins de la Culture 2020. Cette bourse, dotée d’un montant de 3 000 $ offert par la Caisse Desjardins de la Culture, est remise une fois l’an à un(e) membre de l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) pour un projet d’écriture en cours d’achèvement.
L’essayiste Étienne Beaulieu est le second lauréat de la bourse Charles-Gagnon. Cette bourse, dotée d’un montant de 3 000 $ offert par la Fondation Lire pour réussir, est remise une fois l’an à un écrivain ou une écrivaine du Québec pour un projet d’écriture en cours d’achèvement.
L’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) accueille avec beaucoup de réserves le plan de relance économique du milieu culturel dévoilé en conférence de presse le 1er juin dernier par la ministre de la Culture et des Communications du Québec, Nathalie Roy, aux côtés du premier ministre François Legault.
Mardi dernier, une lettre ouverte de l’auteur et metteur en scène Olivier Kemeid adressée à la ministre de la Culture et des communications, Nathalie Roy, avec l’appui de 250 signataires issus des arts vivants, a commencé à circuler dans les réseaux sociaux, accompagnée d’une pétition qui a déjà récolté, au moment de la diffusion de ces lignes, plus de 26 000 signatures.
Vous avez peut-être entendu parler de la « bibliothèque nationale d’urgence » créée aux États-Unis par Internet Archive, qui offre des livres électroniques gratis aux amateurs de littérature confinés à domicile par la pandémie de la COVID-19. Une initiative qui a provoqué l’ire d’associations d’écrivaines et d’écrivains. Cette polémique sur le droit d’auteur, qui semble étrangère à l’industrie du livre québécois, constitue pourtant une menace tangible : n’importe qui peut voir son œuvre piratée par Internet Archive, y compris au Québec. Explications.
La Journée mondiale du livre et du droit d’auteur (JMLDA) souligne, le 23 avril sous l’égide de l’UNESCO, l’importance de la lecture ainsi que celle des autrices et auteurs qui sont à l’origine des œuvres peuplant nos librairies et nos bibliothèques. En ces temps de pandémie, les livres permettent de combattre l’isolement des populations confinées et ouvrent des horizons imaginaires là où le quotidien devient un combat pour la survie.
« Un monde sans nouveaux livres serait triste et appauvri. Nous travaillons dur pour sortir de cette crise, mais nous avons besoin d’aide pour survivre. Nous avons besoin que les gouvernements nous soutiennent pour traverser cette épreuve ensemble. »
Depuis l’éclosion de la pandémie de la COVID-19, tous les événements littéraires, qu’il s’agisse de tournées dans les écoles, cégeps et université, conférences dans les bibliothèques publiques, salons du livre et spectacles publics ont été annulés ou reportés, ce qui occasionne des pertes de revenus importantes pour les autrices et les auteurs.
La crise de la COVID-19 entraîne une perte de revenus significative pour plusieurs écrivaines et écrivains : fermeture des écoles, des bibliothèques et des librairies, annulations de spectacles et d’événements, retard de paiement de la part des éditeurs, etc.
Plus de deux cents lectrices et lecteurs boulimiques des Rendez-vous du premier roman ont lu une sélection d’œuvres francophones, 10 publiées au Canada, 10 publiées en France. Après six mois de rencontres et de débats, ils ont élu leurs lauréates : l’autrice québécoise Marie-Ève Thuot pour La Trajectoire des confettis (Les Herbes rouges) et l’autrice française Victoria Mas pour Le Bal des folles (Albin Michel). Cette dynamique commune autour des premiers romans francophones est coordonnée par l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) et le Festival du premier roman de Chambéry en France.
Depuis la semaine dernière, nous avons constaté que plusieurs annonces destinées aux artistes font appel à la générosité des écrivain.e.s et à leur solidarité, les invitant à produire du contenu en ligne pour aider la population à « mieux vivre » cette crise.
Les événements récents liés à la COVID-19 m’obligent à sortir du cadre habituel de mes interventions en tant que présidente de l’UNEQ. En quelques jours seulement, notre vie a complètement basculé. La pandémie qui sévit est extrêmement grave. Elle a et continuera à avoir des répercussions incalculables pour les populations en général, mais aussi pour les artistes, les écrivain.es. ainsi que les travailleurs et travailleuses culturels, dont les revenus sont entre autres liés aux événements artistiques et littéraires. Cette crise sanitaire a aussi des impacts directs sur le reste de la chaîne du livre, qu’on pense aux éditeurs, aux libraires et aux distributeurs.
Pour les membres de l’UNEQ comme pour tous les artistes, la crise de la COVID-19 est synonyme de pertes de revenus.
Pour paraphraser une citation célèbre de Simone de Beauvoir, on ne naît pas militante, on le devient.
C’est avec consternation que l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) a lu et entendu à plusieurs reprises des rapprochements entre l’affaire Gabriel Matzneff, qui secoue le monde littéraire français, et l’affaire Hansel et Gretel qui menace l’écrivain québécois Yvan Godbout de 14 années de prison. L’UNEQ appelle toute personne amenée à commenter ces actualités à faire preuve de discernement. Toute comparaison est insultante pour Yvan Godbout, les écrivains et la littérature.
Éditeurs, soumettez votre titres dès maintenant pour la sélection 2020-2021 !
Le 18 janvier 2020, librairies, bibliothèques, maisons de la culture et autres lieux culturels à travers le Québec ouvriront leurs portes la nuit tombée pour offrir une trentaine d’animations gratuites sur le livre et la lecture, grâce à la participation de nombreux écrivains.
L’UNEQ est très préoccupée par la poursuite criminelle à l’encontre de l’écrivain Yvan Godbout et de son éditeur pour un passage du roman Hansel et Gretel (Éditions AdA, 2017).
La ministre de la Culture et des Communications, Nathalie Roy, a annoncé officiellement la révision des deux lois sur le statut professionnel des artistes : « Le gouvernement s’engage, au terme de cet exercice, à s’assurer que les créateurs, diffuseurs et producteurs culturels évoluent dans un cadre de travail équitable et adapté aux nouvelles réalités du milieu », a déclaré la ministre lors d’une conférence de presse qui a eu lieu le 9 décembre dernier à la Place des Arts.
En février 2019, l’UNEQ a convoqué à Québec les représentants et délégués de son Comité des régions pour un lac-à-l’épaule. Cette rencontre s’appuyait sur un sondage envoyé à tous les membres de l’UNEQ, qui a permis de connaître et de mieux comprendre leurs attentes. L’UNEQ a tenu compte des résultat de ce sondage pour identifier, en fonction de son mandat, des pistes d’action.
C’est avec optimisme que l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) accueille le chantier de réforme des lois sur le statut de l’artiste annoncé ce matin par la ministre de la Culture et des Communications du Québec. L’UNEQ espère vivement qu’une législation lui permettra enfin de négocier des ententes-cadres fixant les conditions minimales de travail, mais aussi de tout type de contrat proposé aux écrivains.
Montréal, 22 novembre 2019 — Sur 805 manuscrits reçus par neufs éditeurs québécois en 2018, près de la moitié (48,9 %) ont été soumis par des femmes, mais ces mêmes éditeurs […]
L’UNEQ accueille favorablement la nomination de Steven Guilbeault à la tête du ministère du Patrimoine canadien.
Récemment, plus de 200 autrices et auteurs ont signé un manifeste pour protester contre le règne de la gratuité lorsqu’il est question de leurs prestations, qu’il s’agisse de conférences dans les librairies ou dans les bibliothèques, de tables rondes et d’interventions publiques dans les salons du livre.
Bien que le Québec possède une industrie du livre très dynamique, il ne peut pas encore revendiquer une authentique culture de la lecture.
Depuis 20 ans, Livres comme l’air et les écrivains québécois témoignent leur solidarité à des écrivains emprisonnés ou menacés à travers le monde.
En partenariat avec le Festival du premier roman de Chambéry, les 10 œuvres publiées en France en sélection pour les Rendez-vous du premier roman ont été dévoilées cette semaine.
Le poète Fortner Anderson ainsi que la poète et auteure de récits Laure Morali ont remporté en septembre dernier une bourse d’écriture, respectivement dans les bibliothèques de Pierrefonds (Arrondissement de Pierrefonds-Roxboro) et de Saint-Léonard (arrondissement de Saint-Léonard). Ces résidences de six mois se dérouleront en 2019-2020.
Cinq associations professionnelles du secteur du livre, représentants les écrivains (UNEQ), les éditeurs (ANEL), les distributeurs (ADELF) et les libraires (ALQ, Coopsco), ont rédigé un questionnaire à l’attention des cinq principaux partis politiques actuellement en campagne électorale. Ce questionnaire fait état des principales préoccupations de l’industrie du livre de langue française au Canada.
Le poète Gilles Vigneault a été reçu membre d’honneur de l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) lors d’une célébration qui s’est déroulée à la Maison des écrivains le 13 octobre dernier en présence de nombreux membres de l’Union.
Depuis la fin du mois de septembre 2019, plusieurs écrivains québécois contribuent à la rédaction en ligne d’une Déclaration des autrices et auteurs contre le travail gratuit, qui a été signée par plus de 150 écrivains au moment d’écrire ces lignes.
Depuis plusieurs années, des mises en garde circulent dans le milieu universitaire : des éditeurs en ligne tels que les Éditions Universitaires Européennes et les Presses Académiques Francophones sollicitent des étudiants et des auteurs, avec des offres alléchantes, pour publier en ligne leur mémoire ou leur thèse, gratuitement.
L’UNEQ se joint au mouvement syndical, étudiant, communautaire et environnemental québécois en participant à la Planète en grève (Global Climate Strike, globalclimatestrike.net) le 27 septembre 2019. La communauté littéraire québécoise est invitée à débrayer pour le climat.