Symon Henry a remporté le 14 décembre dernier une bourse de 15 000 $ pour une résidence d’écriture et de médiation culturelle à la Bibliothèque du Vieux-Saint-Laurent (arrondissement de Saint-Laurent).
Actualités
Le 2 décembre 2021, l’écrivain Dany Laferrière nous a fait parvenir le texte ci-dessous, hommage à l’écrivaine Marie-Claire Blais décédée le 30 novembre.
L’écrivaine québécoise Annie-Claude Thériault est la première lauréate d’une nouvelle résidence d’écriture à la Villa Marguerite Yourcenar, en France.
Faut-il le souligner, le téléchargement illégal de livres électroniques est un fléau. Et certains sites web pirates sont plus imposants que d’autres. Le site Z-Library, par exemple, en activité depuis 2009, qui se prétend « la plus grande bibliothèque électronique au monde ». Une recherche récemment menée par l’UNEQ démontre que le nombre de titres québécois piratés par Z-Library dépasse l’entendement.
Le directeur général de l’Union des écrivaines et des québécois (UNEQ), Laurent Dubois, a assisté ce 22 novembre en matinée à une conférence de presse du gouvernement du Québec sur un certain nombre d’initiatives visant à renforcer les liens entre l’école et la culture. L’événement rassemblait le ministre de l’Éducation, Jean-François Roberge, et la ministre de la Culture et des Communications, Nathalie Roy.
L’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) tient à féliciter Pablo Rodriguez pour sa nomination à la tête du ministère du Patrimoine canadien.
Le conseil d’administration de l’UNEQ est heureux d’annoncer la cooptation de l’écrivaine, poétesse et traductrice Natasha Kanapé Fontaine pour combler un poste d’administratrice laissé vacant par le départ en juin dernier de Karine Rosso.
Une entente entre le Conseil des arts et des lettres du Québec (CALQ) et l’UNEQ permet d’offrir annuellement sept bourses de déplacement à des autrices et auteurs pour participer à des événements internationaux où Québec Édition tient un stand collectif. En 2022, des bourses seront offertes pour la Foire du livre de Bruxelles, le Festival du livre de Paris ainsi que le Salon du livre de Genève.
Vous êtes écrivain, écrivaine ? Vous habitez Montréal ? Vous raffolez des bibliothèques publiques ? Vous avez envie de réaliser un projet de médiation culturelle ? Vous pourriez obtenir une bourse pour une résidence d’écriture en bibliothèque !
Les écrivaines et écrivains québécois ont assez attendu ! Le temps presse plus que jamais : le gouvernement du Québec doit respecter sa promesse et déposer une nouvelle loi sur le statut de l’artiste dès cet automne.
Neuf associations du secteur des arts et de la culture ont demandé ce matin au gouvernement du Québec de déposer dès l’automne le projet de réforme tant attendue de la loi sur le statut de l’artiste. Pour ces organisations représentant plus de 26 000 artistes, toutes disciplines confondues, il est impératif de pallier les brèches de la loi actuelle qui privent ceux-ci de droits fondamentaux en matière de travail pourtant accessibles à l’ensemble de la population du Québec. Les neuf associations ont présenté ce matin un ensemble de revendications communes qu’elles porteront auprès du gouvernement au cours des prochaines semaines.
Après trois ans d’attente, le temps presse plus que jamais : le gouvernement du Québec doit déposer une nouvelle loi sur le statut de l’artiste dès cet automne. L’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) craint que de nouveaux délais compromettent cette réforme tant attendue, car des élections provinciales seront déclenchées en 2022 et les projets de loi qui ne sont pas adoptés à temps avant une élection meurent au feuilleton.
Copibec, l’Association nationale des éditeurs de livres (ANEL) et l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) exhortent les partis politiques fédéraux à faire de la loi canadienne sur le droit d’auteur une priorité en matière de culture. Pour le secteur du livre, il est primordial que le prochain gouvernement s’engage à modifier la loi afin de corriger les effets des modifications de 2012 qui occasionnent des pertes de revenus importantes pour les autrices, les auteurs et les maisons d’édition.
Lorsque l’écrivaine Ayavi Lake a été retenue pour le programme de parrainage de l’UNEQ, jumelée en 2018 à la mentor Mélikah Abdelmoumen, elle ne se doutait pas qu’elle compléterait un recueil de nouvelles, que cet ouvrage serait publié en 2019 par VLB éditeur et remporterait le Prix des Horizons imaginaires l’année suivante. « Quand j’ai rencontré Mélikah, je lui ai expliqué mon problème : j’avais écrit plusieurs nouvelles, dont certaines étaient inachevées, et je n’arrivais pas à trouver une boucle. Mélikah m’a aidé à terminer ces nouvelles et finalement à terminer le recueil au complet ».
En 1992, l’écrivaine en herbe Monique Deland fut l’une des premières bénéficiaires du programme de parrainage de l’UNEQ, jumelée à la mentor Denise Desautels. Son premier recueil de poésies a été récompensé par le Prix Émile-Nelligan 1995. Par la suite, Monique Deland est elle-même devenue mentor et membre du jury du programme. « C’est certain que je dois énormément à Denise et au programme de parrainage, qui m’ont pour ainsi dire permis d’entrer en littérature québécoise par la grande porte ! »
Pour une quatrième année consécutive, l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ), la Fondation Lire pour réussir et leurs partenaires convient les librairies, les bibliothèques et les lieux culturels ou communautaires à célébrer la lecture le temps d’une nuit, au cœur de l’hiver.
Le 29 juillet 2014, deux écrivains, Patrice Cazeault et Amélie Dubé, ont lancé sur Facebook la campagne « Le 12 août, j’achète un livre québécois ». Il s’agissait d’une initiative spontanée, sans que cette autrice et cet auteur n’aient sollicité les libraires ni aucune association du secteur du livre.
Huit nouvelles voix à découvrir, huit titres surprenants, prometteurs, remarquables, novateurs, à lire et à débattre dans les clubs du premier roman !
Les membres de l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) ont élu Suzanne Aubry, Catherine Lafrance, Karine Légeron et Pierre-Luc Landry pour combler quatre postes vacants au conseil d’administration de leur Union. Les résultats d’un scrutin électronique qui s’est déroulé du 17 au 31 mai dernier ont été dévoilés ce 21 juin lors de l’assemblée générale annuelle de l’UNEQ.
L’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) a remis aujourd’hui trois bourses d’écriture à autant d’écrivaines québécoises. Mikella Nicol a décroché la première bourse Jean-Marie-Poupart. Aimée Lévesque a remporté la bourse Jean-Pierre-Guay — Caisse Desjardins de la Culture, pour un projet de fiction, et Gabrielle Lebeau a obtenu la bourse Charles-Gagnon pour un projet d’essai.
Dans le cadre de la saison québécoise qui se déroulera dans les Hauts-de-France en 2022-2023, la Délégation générale du Québec à Paris, la Villa Marguerite Yourcenar, Résidence d’écrivains/Département du Nord et l’Union des écrivaines et écrivains québécois (UNEQ) s’associent pour la première fois afin d’offrir une résidence d’écriture d’un mois à une écrivaine ou un écrivain du Québec entre septembre et novembre 2022.
Lors de sa dernière assemblée générale annuelle, le 14 mai 2021, l’International Authors Forum (basé à Londres) a manifesté un vif intérêt pour les revendications de l’UNEQ sur la révision des lois québécoises sur le statut de l’artiste.
L’UNEQ est finaliste de Nos indispensables, un événement organisé par le Conseil des arts de Montréal pour rendre hommage à des associations et à des créatrices et créateurs qui ont marqué l’année artistique 2020.
L’Association nationale des éditeurs de livres (ANEL) et l’Union des écrivaines et écrivains québécois (UNEQ) souhaitent recruter conjointement un(e) agent(e) de développement culturel numérique (ADN). Ce recrutement s’effectue dans le cadre du réseau provincial ADN mis en place par le ministère de la Culture et des Communications (MCC) dans le cadre du Plan culturel numérique du Québec (mesure 120).
Confiante dans la volonté de la ministre de la Culture et des Communications d’améliorer les conditions socio-économiques des artistes québécois, l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) lui demande de prendre l’engagement de déposer un projet de loi à l’automne pour réformer les lois sur le statut de l’artiste.
Deux récents sondages commandés par l’UNEQ, l’un auprès de la population du Québec, l’autre auprès des écrivaines et écrivains, confirment que la population soutient très largement les revendications de la communauté littéraire et que les artistes appuient leur syndicat.
À l’instar des artistes québécois de diverses disciplines, les écrivaines et les écrivains ont maintenant accès au nouveau Fonds de soutien aux artistes et travailleurs du milieu culturel vivant de la détresse psychologique.
Les portes tournantes, ce n’est pas seulement le titre d’un roman (qui a également fait l’objet d’un film), mais la réalité au ministère de la Culture et des Communications (MCC) du Québec. En effet, pas moins de quatre chefs de cabinet se sont succédé depuis l’élection du gouvernement de la Coalition Avenir Québec (CAQ) le 1er octobre 2018.
Les lectrices et lecteurs des clubs des Rendez-vous du premier roman ont lu, débattu et voté pour leurs favoris ! Pour cette 7e saison, une sélection d’œuvres francophones (huit québécoises et franco-canadiennes et huit hors-Canada) a été soumise aux clubs de lecture des Rendez-vous du premier roman. Après six mois de rencontres, souvent virtuelles, et de débats, ils ont élu leurs lauréats : l’auteur Paul Kawczak pour Ténèbre (La Peuplade) pour la sélection québécoise et franco-candienne, et l’autrice Caroline Dorka-Fenech pour Rosa Dolorosa (de la Martinière) pour la sélection hors-Canada.
Les lectrices et lecteurs des clubs des Rendez-vous du premier roman ont lu, débattu et voté pour leurs favoris. Pour cette 7e saison, une sélection d’œuvres francophones (huit québécoises et franco-canadiennes, et huit hors-Canada) a été soumise aux clubs de lecture des Rendez-vous du premier roman. Après six mois de rencontres, souvent virtuelles, et de débats, ils ont élu leurs lauréats : l’auteur Paul Kawczak pour Ténèbre (La Peuplade) pour la sélection québécoise et franco-candienne, et l’autrice Caroline Dorka-Fenech pour Rosa Dolorosa (de la Martinière) pour la sélection hors-Canada.
L’UNEQ participe actuellement à des consultations sur la révision de la loi canadienne sur le droit d’auteur, consultations menées par le ministère de l’Innovation, des Sciences et de l’Industrie ainsi que par le ministère du Patrimoine canadien.
Plus de mille écrivaines et écrivains ont signé la lettre ouverte de l’UNEQ dans le cadre de la campagne #écrivainsartistes.
Parmi les signataires, des écrivain·e·s célèbres, que ce soit dans le domaine du roman, du conte, de la poésie, de livres pour la jeunesse, de la bande dessinée, de l’essai, du théâtre ; des autrices et auteurs qui en sont à leurs premières armes ; d’autres qui ont publié plusieurs livres ; des spécialistes qui ont écrit des guides pratiques ou des manuels scolaires. Certain·e·s écrivain·e·s signataires enseignent la littérature, effectuent de la recherche, travaillent dans la révision, la traduction, la rédaction professionnelle, l’illustration, dirigent des publications, sont libraires, bibliothécaires, etc.
Bref, plus de mille écrivaines et écrivains de toutes origines, de tous âges, de différentes classes sociales, pratiquant tous les genres d’écriture.
À cette longue liste s’ajoute une liste d’allié·e·s de deux cents signataires, parmi lesquels figurent les principaux syndicats d’artistes au Québec, toutes disciplines confondues.
En plusieurs décennies d’engagement à la défense des métiers de l’écriture, je n’ai jamais été témoin d’une telle vague de mobilisation.
En proposant aux écrivaines et écrivains une rémunération indécente pour certaines interventions en milieu scolaire, le Salon international du livre de Québec (SILQ) démontre à lui seul la nécessité d’encadrer d’urgence les conditions de travail des artistes de la littérature.
Le ministre de la Justice, procureur général du Québec et ministre responsable de la Langue française, M. Simon Jolin-Barrette, annonce l’octroi d’une subvention de 720 000 $ à l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) pour la réalisation de son programme Parlez-moi d’une langue !.
Si vous avez reçu en décembre 2020 un avis de l’Agence du revenu du Canada exigeant un remboursement de la Prestation canadienne d’urgence (PCU), prenez note que le gouvernement du Canada a clarifié la situation.
L’Association des bibliothèques publiques du Québec (ABPQ), en collaboration avec l’UNEQ, sollicite les écrivaines et écrivains jeunesse dans le cadre d’un projet national d’heures du conte virtuelles.
Plus de 1 000 écrivaines et écrivains du Québec et allié·e·s se mobilisent et signent une lettre ouverte, publiée le 30 janvier 2021 par La Presse +.
Les écrivaines Karine Légeron et Aimée Verret ont remporté le 27 janvier dernier une bourse d’écriture, respectivement dans les bibliothèques d’Ahuntsic (arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville) et de Rivière-des-Prairies (arrondissement Rivière-des-Prairies—Pointe-aux-Trembles). Ces résidences, d’une durée de six mois, se dérouleront entre avril et novembre 2021.
Le ministère de la Culture et des Communications du Québec procède actuellement à une consultation en ligne sur la révision des deux lois sur le statut de l’artiste. Dans son mémoire déposé aujourd’hui au ministère, l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) affirme que la loi qui régit le statut des écrivain·e·s est injuste, inéquitable et inapplicable, et revendique un nouvel encadrement législatif.
Le 23 janvier 2021, de 18 h à 23 h, trente activités en ligne, pour tous les âges et tous les goûts, seront offertes au grand public ainsi qu’à celles et ceux qui désirent (re)trouver le plaisir de la lecture.
Pour une troisième année consécutive, l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) vous invite à un événement rassembleur en ligne, la Nuit de la lecture.
L’année 2021 s’annonce des plus importantes pour notre avenir. Comme vous le savez, le gouvernement du Québec, après avoir interrompu le processus de révision des deux lois sur le statut de l’artiste à cause de la crise sanitaire, a enfin annoncé la reprise des travaux. Il était plus que temps : adoptée en 1988, la législation sur le statut de l’artiste qui concerne la littérature est injuste, inéquitable et inapplicable.
Le précédent conseil fiscal traitait des subventions de recherche et des « bourses de travail libre » que des artistes reçoivent en un seul versement, ce qui peut provoquer des situations délicates sur le plan fiscal. Maintenant, qu’en est-il des subventions à la production artistique, dédiées à un projet en particulier, par exemple pour produire une œuvre littéraire ? Sont-elles imposables ? Quoi inscrire dans les déclarations de revenus ?
En juin 2018, l’UNEQ a dévoilé son Plan stratégique 2018-2022 en s’engageant notamment à tout mettre en œuvre pour établir des normes équitables liées à la pratique de notre métier.
Plusieurs écrivaines et écrivains s’inquiètent de recevoir une subvention en un seul versement même si la période concernée couvre plus d’une année fiscale. Cette situation peut provoquer un déséquilibre dans les revenus : empocher un gros montant une année pour un projet, réaliser le gros des dépenses associées à ce projet l’année suivante. Comment « équilibrer » ce revenu et ces dépenses ?
Depuis de nombreuses années, l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) réclame une réforme des lois québécoises sur le statut de l’artiste. Par conséquent, le syndicat professionnel accueille très favorablement l’annonce faite hier par la ministre de la Culture et des Communications de la reprise des consultations sur la révision des lois. Pour l’UNEQ, le temps est venu de réunir les conditions indispensables à une représentation collective des écrivaines et écrivains québécois.
Le conseil d’administration de l’UNEQ a signé le 16 octobre dernier une entente de collaboration avec la Fédération nationale des communications et de la culture (FNCC) de la CSN, à l’instar de l’Union des artistes (UDA), de l’Association québécoise des auteurs dramatiques (AQAD) et de la Guilde des musiciens.
Vous êtes écrivain, écrivaine ? Vous habitez Montréal ? Vous raffolez des bibliothèques publiques ? Vous avez envie de réaliser un projet de médiation culturelle ? Vous pourriez obtenir une bourse pour une résidence d’écriture en bibliothèque !
Le regroupement d’associations et d’entreprises du milieu du livre — l’UNEQ, l’ANEL, l’ALQ, Archambault, COOPSCO, Les Libraires, Renaud-Bray, l’ADELF et l’AQSL — est fier de lancer « Je lis québécois », une campagne publicitaire d’envergure s’adressant à toute la population québécoise qui valorisera le livre d’ici tout en stimulant l’achat dans les librairies bien de chez nous.
Depuis le 22 octobre 2020, les écrivaines et les écrivains qui souhaitent offrir des activités artistiques et littéraires dans les écoles du Québec peuvent soumettre leur candidature en vue d’une inscription au Répertoire culture-éducation.