Pour la septième année consécutive, le Festival LatinArte présente sa Nuit Bohème. Pour une troisième année et avec grand plaisir, l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) s’associe à cet hommage rendu à l’univers poétique latino-américain, une occasion exceptionnelle de célébrer et de diffuser la littérature latine de Montréal.

Cette année, s’alliant au thème de la mémoire, la place est laissée à Pablo Neruda.

Se souvenir de Pablo Neruda

Jeudi 1^er octobre 2015, à 19 h
à la Maison des écrivains
3492, avenue Laval, Montréal
Métro Sherbrooke

Avec le groupe de musiciens chiliens Surkalen, les poètes Caroline Louisseize, Bernard Pozier,Camila Ramos, Alejandro Saravia, Julie Stanton et Lizama, l’interprète et musicien Richard Fortier et le commissaire de l’exposition Pablo Neruda, Sergio Gutierrez.

Après avoir publié son premier recueil de poésie en 2003, Caroline Louisseize écrit des textes pour les revues Estuaire, Moebius et Robinet , en plus de participer à de nombreuses lectures publiques et performances.

Elle pratique le piano et s’intéresse à plusieurs disciplines artistiques (cinéma, danse, théâtre…)

En 2013, elle fait paraître son deuxième recueil, Aura, aux éditions Poètes de brousse. Son prochain recueil,Réplique, doit paraître prochainement.

Bernard Pozier est né à Trois-Rivières en 1955.

Il est directeur littéraire des Écrits des Forges, vice-président de la Maison de la poésie de Montréal et Membre du Conseil Académique de Letras en la mar.

Ses ouvrages les plus récents sont Naître et vivre et mourir, Carnets de México, Biens et maux, Agonique agenda, Post-scriptum et Le temps bouge la Terre passe.

En 2012, il a reçu la Médaille de la Reconnaissance de l’État d’Aguascalientes au Mexique pour l’ensemble de ses travaux d’écriture, de traduction et de diffusion de la poésie mexicaine au Québec et, en 2013, le premier prix de calaveritas du Consulat du Mexique à Montréal.

Journaliste indépendante pour gagner sa vie, poète pour garder la flamme, également romancière, Julie Stanton a publié une douzaine de titres inspirés notamment par la révolte et l’indignation.

Elle était l’une des représentantes du Québec à Paris, en 1997 et 1999, lors de La Rencontre internationale de Poésie féminine Contemporaine de Langue Française.

En 2005, lors d’une tournée littéraire à Santiago, Requiem pour rêves assassinés : Hommage à Pablo Neruda ─ finaliste au prix de poésie Alain-Grandbois de l’Académie des lettres du Québec ─, est lancé à la Chascona, l’une des maisons-musées de Neruda.

En 2011, elle publieParfaitement le chaos suivi de Élie ma joie et, en 2013, Mémorial pour Geneviève et autres tombeaux, finaliste au Prix du Gouverneur général.